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lundi 9 avril 2018

Quelques rêves et cauchemars persos

Voilà un petit rassemblement de rêves que j'ai pu raconter sur mon forum entre 2012 et 2015 environ :


Ça vous le fait pas à vous, d'avoir le son de votre réveil qui est tout le temps adapté à un truc dans votre rêve ?

Sachant que j'ai rarement de nuit complète (donc jamais foutu de finir un rêve naturellement) et que je mets le réveil sur répétition, il faut toujours que mes rêves transforment le bruit du réveil en autre chose, genre si je suis en train d'infiltrer un endroit en douce c'est la caméra qui me repère et qui sonne l'alarme. Du coup au lieu de me lever pour éteindre le réveil, je passe trois plombes dans mon rêve à chercher une solution (et après y'a le voisin qui tape au mur "c'est pas bientôt fini ce putain de réveil ?").
Ou alors si je suis en train de parler à un mec, c'est lui qui se met à sonner dedans son corps, genre il a avalé son portable lulz ou c'est un cyborg en fait zomg.

Si c'est pas votre cas, c'est que vous faites des bonnes nuits bien complètes à chaque fois et que donc vous êtes inintéressants. =>[]

*

Si vous voulez tout savoir, la séquence de la première map que j'ai faite dans notre jeu collectif "La 7e porte" est tirée d'un rêve assez réaliste que j'avais fait :
Je me réveille sur un toit, il pleut, je sais pas comment j'ai atterri là. Je descends jusque dans la rue, je suis dans une ville que je connais pas, loin de chez moi. Je me sens pas bien, les gens me regardent bizarrement, et à un moment je passe devant une vitrine, devinant mon reflet du coin de l'oeil, et après un petit temps de réaction je m'arrête en me disant qu'il y a un truc qui cloche. Je fais marche arrière pour regarder mon reflet plus attentivement dans la vitrine, et je vois que je suis plein de sang. En touchant le derrière de ma tête, je sens qu'il me manque un bout au crâne, comme un gros trou. D'un coup je me dis "woh, je suis vraiment beaucoup plus mal que je pensais" et je commence à tituber.

Je veux rentrer chez moi, et pour ça je m'accroche à l'arrière d'un camion et je fais tout le trajet comme ça sur l'autoroute en saignant (mais c'était parfaitement logique comme solution dans mon rêve 😸). Après soins à l'hôpital, mes parents sont là, je discute avec le médecin, il me dit que je suis victime de pertes de connaissance chroniques ou un truc du genre, qu'il ne saurait me dire ce que c'est exactement.

Quelques temps plus tard, je trouve un nouveau boulot, alors à la pause déjeuner je m'installe au milieu de leur cantine avec mon plateau, et là je mange ma paella je vois à une autre table plus loin un gars en bleu de travail avec les cheveux longs. Il ressemble à un ami d'enfance que j'ai pas vu depuis l'école, mais je suis persuadé que c'est lui.
Je vais le voir, je lui demande des trucs du genre "on se connaîtrait pas d'avant ?" etc, mais il me réponds quelque chose genre "t'as un sacré culot de... blabla". Il s'énerve tout seul, je comprends pas de quoi il veut parler, ce que j'ai pu lui faire, il veut s'en prendre à moi, les gens autour le retiennent et ça devient un sacré bordel, puis je m'évanouis.

Plus tard, je me réveille chez mes parents, ils sont pas là. Et je trouve (je ne sais plus trop comment) une trappe sekraite sous leur tapis, tapis que j'ai toujours connu mais je savais pas qu'il y avait ça en dessous (c'est complètement con puisqu'en vrai mes vieux ont toujours été en appartement à l'étage mais bref). La trappe mène à un escalier, je le prends, et j'arrive dans une pièce blanche genre clinique, avec dans le mur à droite un... euh... scanner, enfin un orifice en tube où on fout quelqu'un dedans pour passer un scanner quoi (j'ai dû voir ça dans un film parce que les scanners que j'ai vus en vrai, ils étaient pas encastrés dans les murs lulz).

Et mes parents sont là, ils m'attendaient. Puis ma mère me dit qu'en fait je suis condamné, que je vais bientôt mourir, et qu'ils comptent me foutre dans le tube je ne sais plus trop pourquoi. Il me reste une semaine à vivre.
Le rêve est tellement réaliste que je m'imagine ce que je pourrais faire avant de mourir et tout, et puis à force de cogiter, je me réveille pour de vrai. Il m'a fallu un bon moment avant que je sois sûr que c'était bien qu'un rêve et que j'allais pas bientôt crever.
Soulagé, aux anges, bref ça fait comprendre des trucs... vraiment un rêve génial. 👹

*

J'ai fait un cauchemar génial cette nuit. 😃 Je me rappelle que de la fin, c'est con... il me semblait que le reste du rêve était cool aussi. En tout cas, je me souviens juste que tout du long moi et une amie on a enquêté pour trouver quelqu'un, une petite fille, mais c'était dangereux parce que si on la touchait on trouvait la mort.
Je me rappelle qu'on est passé par des décors genre une vieille grange, un marché aux puces dans un hangar, et même un nouvel endroit où j'avais commencé un nouveau boulot (ça revient souvent dans mes rêves ça on se demande pourquoi, je suis nouvellement employé quelque part et y'a des pressions et tout... une fois c'était dans un phare noir et j'y découvrais un ascenseur secret lol le premier qui sort que le phare noir, c'est parce que je rêve de BIT2NOUAR, je le ban =>[]), bref là mon lieu de travail c'est genre décor de l'Étoile noire, trop cool.
Mais bon, je me rappelle plus trop ce qui s'y passe donc je passe au décor final de l'investigation. C'est une école primaire, on entre tous les deux là-dedans, on discute avec un prof au milieu de sa classe alors qu'il y a tous les élèves, sauf que là il fait nuit et la lumière est tamisée et éclairée à la bougie.

Les classes sont comme celles où j'avais cours quand j'étais en primaire, à chaque fois il y a une porte au fond de la classe qui mène à la salle de classe de derrière.
Mon amie demande aux gens présents des infos sur la petite fille qu'on cherche depuis le début (on sait maintenant que c'est ici dans cette école), les gosses lui racontent je-ne-sais-quoi qui lui indique la salle de classe d'à côté, on prend donc la porte du fond pour y aller, et puis pareil on nous indique la salle de classe suivante, et ainsi de suite.

Après, les choses s'accélèrent, je pense que dans mon rêve j'avais envie de bâcler tout ça et de passer directement au résultat final, donc ça commence à zapper les passages dans chaque classe et en montrant uniquement l'ouverture de chaque porte de plus en plus vite. Puis ensuite les salles de classes évoluent peu à peu en petites pièces sombres, pas plus grandes que des toilettes, avec en face la porte et le mur autour qui sont tout en miroir. Le tout dans le noir avec mon amie qui éclaire avec sa lampe de poche. Et toutes les pièces suivantes sont comme ça à l'infini, on abrège de plus en plus et les séances d'ouverture de ces portes s'enchaînent de plus en plus vite.
Et au fur et à mesure, je vois le reflet de mon amie dans chaque miroir qui devient de plus en plus jeune, jusqu'à devenir une enfant, ça enchaîne les clichés de ces ouvertures de porte tellement rapidement à la fin qu'on voit son reflet rajeunir à vue d'oeil, alors qu'en face la nana en vrai ne change pas, c'était assez impressionnant.

Puis à un moment, on se rend compte que la petite fille qu'on cherche depuis le début en fait c'est elle, dans le miroir. Au moment où on s'en rend compte, je vois que la prochaine pièce est différente. La succession rapide d'ouvertures de portes cesse et j'entre lentement. Mais pour une raison inexpliquée mon amie a disparu et je suis seul.
La pièce est plus grande, la seule lueur provient de la pièce d'où je viens derrière, qui laisse une longue traînée de lumière tamisée devant moi. J'aperçois au fond, une dizaine de mètres plus loin une armoire fermée, avec de grands miroirs dessus. À la place de mon reflet, je devine au loin la petite fille, mais la vue est obstruée par un meuble quelconque se trouvant sur mon chemin et collé contre le mur de droite.
La pièce est plus grande mais hormis la traînée de lumière devant moi, toute la partie gauche de la pièce (une autre salle de classe ?) est plongée dans l'obscurité (est-elle remplie d'élèves restés dans l'obscurité en train d'observer ?)
Je m'approche lentement du miroir, avec ce reflet dont je sais que ce n'est pas le mien, et je me souviens que la petite fille qu'on cherchait depuis le début pourrait tuer au simple contact... qu'est-ce qu'il se passe alors si je touche le miroir ?

En m'approchant de plus en plus du reflet, je la vois clairement (mais bizarrement elle ne regarde pas dans ma direction), et là je touche le miroir et j'ai un flash du visage de la fille devant moi, vieille et mourante, avec un regard terrifiant, c'était le signe de ma mort... je me réveille.

*

Cette nuit, j'ai rêvé que j'étais dans un centre commercial et que je me faisais accoster par Woody Allen. Alors je lui dis en anglais "ah, vous êtes Woody Allen". Il me fait "oui oui" et il essaie de m'expliquer un truc avec des gestes et quelques mots de français qu'il maîtrise pas du tout.
Il me montre des bouteilles de coca-cola, il en ouvre une comme ça sous mon nez, et il a l'air de me demander comment on appelle ça en français. Alors je lui dis "bouteille". Ça a l'air de le surprendre, puis il m'emmène dans une sorte de petite épicerie qu'il y a plus loin dans le centre commercial, genre probablement pour l'aider à acheter ses trucs là-dedans parce qu'il a des problèmes de compréhension avec l'épicier qui parle français.

Sur le chemin, il me tend la bouteille de coca qu'il avait précédemment ouverte, et il m'invite à boire dedans pendant le trajet si je voulais. Donc je m'exécute, et je lui parle en anglais mais il s'en fout, il continue d'essayer de s'exprimer pauvrement en français dans un imbroglio d'hésitations et de bafouillages incompréhensibles.

Arrivé à l'épicerie, il se positionne à la caisse et commence à compter les pièces de monnaie qu'il a déversées sur le comptoir à partir d'une sorte de tirelire en forme de théière en métal, avec l'épicier qui l'attend. Et je vois qu'il a tout un tas de merdes, enfin d'articles qu'il avait déposés là sur le comptoir, pour les acheter. C'est un peu le bordel tout du long avec tout le monde qui parle en même temps. Moi je reste sur le côté et je pose ma bouteille de coca entamée dans un coin. L'épicier me fait remarquer qu'il faut payer aussi cette bouteille. Alors comme Woody Allen s'empêtre dans son comptage de monnaie pendant des plombes et que l'épicier commence à insister, je sors mon porte-monnaie et je vide le tas de pièces sur le comptoir pour voir ce que j'ai, histoire de juste payer cette bouteille vite fait.

Là, je suis perturbé par je-sais-plus-trop-quoi, probablement Woody Allen qui me redemande encore comment on dit un truc, et peu de temps après je découvre que l'épicier a pendant ce temps pris mes pièces et les a assemblées et mélangées avec celles de Woody Allen. Et il commence à compter le tout pour voir si ça fait euh.. le compte.
Donc je m'énerve, en plus j'avais aucune idée du total de l'argent que j'avais déversé sur le comptoir de mon porte-monnnaie à la base, donc bonjour pour lui demander de me rendre la part qui était à moi.
Mais il y a une solution, si Woody Allen sait combien il avait dans sa tirelire en arrivant (sachant qu'il avait tout confié à l'épicier), je pouvais calculer la différence. Donc, énervé et voulant en finir, je commence à leur dire stop, que tout le monde ferme sa gueule et que personne ne sorte tant qu'on a pas résolu mon problème, et je me mets à violenter un peu Woody Allen pour savoir le total de sa putain de tirelire (ouais moi je suis comme ça dans mes rêves =>[]).


Je le prends par le col et il commence à flipper à l'idée de se prendre une avoine, mais paniqué il m'indique une somme précise. Alors je le crois pas et je lui demande comment il le sait, et là il me montre des gribouillis sur sa théière à la con où c'était marqué au feutre le total de son contenu dans un méli-mélo de ratures (ça fait 28 francs virgule quelque chose... ouais c'est en franc, c'est mon rêve et j'ai grandi avec les francs donc voilà).

Quand je vois tout le bordel d'articles qu'il avait déposé sur le comptoir, je me dis que ses 28 et quelques ça lui fait largement pas assez d'argent pour payer ses conneries, alors je commence à le re-secouer par le col en le suspectant d'avoir été me rencontrer exprès pour m'utiliser, pour me faire payer la majeure partie de ses trucs de merde.
Là il se débat et je continue à le secouer, quand l'épicier, qui me tapait sur l'épaule depuis un moment mais je croyais que c'était juste pour me persuader d'arrêter, me montre le ticket de caisse qui indique le montant total à payer, qui n'est que de 5 francs.

Du coup, j'essaie de mettre tout à plat et je demande qu'on résume clairement la situation tous ensemble. Je prends l'épicier par la cravate et je lui explique que je me souviens avoir vu clairement des pièces de 5 francs dans tout l'amas de pièces que Woody Allen avait déversé sur le comptoir au début. Donc comment ça se fait que toi l'épicier tu prends la tête à Woody Allen depuis tout ce temps alors qu'il y avait déjà au moins une pièce de 5 francs dans ce qu'il t'a tendu dès le début, HEIN ?§

Bref, je m'apprête à péter la gueule à l'épicier, et là Woody Allen me dit soudainement que c'était une caméra cachée (lol). Je demande d'office si l'épicier était aussi dans le coup (parce que je m'apprêtais un peu à le taper quand même). Il me répond que oui, je regarde l'épicier qui me fait un grand sourire forcé à hurler de rire. Je poursuis mon interrogatoire (jusqu'à être sûr que c'est pas une feinte et que je peux vraiment lâcher l'épicier en toute quiétude), en demandant où sont les caméras, et là effectivement il y a des vrais caméramen qui débarquent avec des grosse caméras pros et tout. Et là je me réveille. 👾

Donc la question est, cela veut-il dire qu'au fond de moi je suis antisémite ? =>[]

*

Un rêve un peu sanglant cette nuit. Je suis à une soirée, dans une sorte de galerie genre musée un peu. Je discute avec des gens qui me disent qu'il y a eu un massacre de plein de personnes ici il y a quelques années. Ensuite j'y retrouve une ancienne copine avec qui je discute. Tout du long elle fait des remarques obscures sur un certain épisode de notre passé mais qui me dit rien du tout. Au bout d'un moment quand elle commence à être plus explicite, ça me revient et je revis tout cet épisode de ma life que j'avais complètement effacé de ma mémoire : On avait été dans cette galerie ensemble autrefois, et elle s'était mise à forcer une vitrine pour voler des objets précieux qu'il y avait à l'intérieur.

Donc je continue mon rêve en (re?)vivant cette séquence du passé : En fait, quand elle commence à voler des trucs, je suis surpris parce que j'étais pas au courant de son plan (ni qu'elle se livrait à ce genre d'activités) mais je la laisse finir. En attendant je regarde dans son sac de sport par curiosité, et il y a tout un attirail de cambriolage et des armes.
C'est au moment où j'étudie un de ses fusils à pompe qu'un garde arrive et s'apprête à tirer à vue sur elle, alors je le dégomme avec le fusil. Et ensuite il y a plein d'autres gardes / flics qui débarquent, et alors que moi et elle on est à terre l'un blotti contre l'autre (hmmm), je suis obligé de tous les descendre et ils sortent de partout, ça n'en finit plus.
Il y a même des gars qui sortent de trappes situées au sol juste devant nous et que je dois abattre à bout portant, je me souviens de la sensation réaliste de recevoir des giclées de sang à la gueule, au point qu'après quand je parlais il y a le sang qui me gênait dans la bouche et tout (j'ai même pensé au sida lulz).

Donc du coup le massacre énoncé au début, c'était moi lulz. Quand on a une ouverture, elle se lève et elle me tire vers la sortie où une voiture nous attend. Elle connaissait les gens dans la voiture et pendant qu'on quitte les lieux elle me raconte que voilà en fait c'est ça son activité principale, qu'elle voulait pas me le dire jusque là, mais qu'en fin de compte je me démerde pas mal dans le domaine, donc je pouvais peut-être les aider.

Elle me dit qu'elle a un frère qui est injustement enfermé dans un asile et qu'elle a besoin de faire une action musclée là-bas pour le libérer. Je me retrouve donc devant la porte de cellule de son frère, à descendre tous les gardes qui débarquent aux alentours, pendant qu'elle bidouille le code du boitier sur le côté de la porte.
Il y a un trou sur la porte où son frère passe tout d'un coup son oeil, et c'est un oeil limite monstrueux et il a l'air salement vénèr. Quand elle arrive enfin à ouvrir, je me casse parce que j'ai peur qu'il me saute dessus. Je tourne au coin du couloir et là je tombe sur lui qui sort d'une porte (genre une autre porte de la même cellule mais sur un autre côté) et c'est une sorte de cadavre rampant par terre avec des membres amputés et fermés par des grosses épingles à nourrice, enfin bref c'est dégueu. Et là je me réveille.

*

Cette nuit j'ai rêvé qu'en me baladant à pied dans la rue, je passais sur un trottoir entre les tables à l'extérieur d'un bistrot, et c'était bourré de monde, enfin plein de jeunes cons qui faisaient la fête ou je sais pas quoi.
Alors je les entends en train de parier qu'ils arriveraient à conduire leur bagnole décapotable en étant assis sur le "dossier" du siège, et en contrôlant le volant avec les pieds (pendant que l'autre passager appuierait sur les pédales).
Je continue mon chemin parce que je veux pas entendre davantage de leurs conneries. Et plus loin dans une ruelle, je vois une petite fille sur un vélo qui me dépasse. Suivie de la bagnole décapotable des blaireaux d'avant, en train de brailler comme des neuneus et avec effectivement un qui est assis sur le dossier du siège et qui essaie de contrôler le volant avec ses pieds, et un autre qui appuie sur les pédales en allant à fond la caisse.
Et il y a la petite fille en vélo juste devant, qu'ils vont sûrement renverser comme des connards. Donc comme je suis sur la gauche par rapport à la voiture, je me dis que quand ils seront pile à ma hauteur je vais donner un grand coup de pied dans leur volant, pour les faire déraper à droite et s'encastrer dans le mur comme les gros cons qu'ils sont.

Alors il faut savoir que jusque là, par-dessus mes fringues j'avais une grande serviette de bain que je m'étais foutue sur la tête et serrée plus bas par un sac à dos, histoire de faire style parce que précédemment dans mon rêve j'avais été à la piscine. Donc j'enlève ma serviette d'un coup, et je décide de l'agiter devant eux comme un torero pour les faire se rapprocher de moi.
Donc je le fais, ces cons croient que c'est parce que je prends part à leur trip donc ils sont tout contents. Et effectivement ils foncent en direction de la serviette comme des dératés. J'écarte la serviette au dernier moment d'un grand mouvement de toréador donc, et là je balance un grand coup de pied en direction du volant pour les faire valser mais je rate, mon pied part dans le vide et la bagnole continue son chemin. Et ils finissent par écraser la gamine en vélo quelques mètres plus loin (ce que le rêve a décidé de montrer avec un réalisme assez cru).


Du coup, culpabilité parce que c'est moi qui ai chauffé ces connards avec ma serviette. Peut-être que la fille m'a vu le faire et me prend encore plus pour un connard que les autres. Bref, je fonce vers l'endroit de l'accident. Pour d'obscures raisons il ne reste plus qu'une carcasse fumante de la bagnole et les chauffards ont disparu. La petite fille est vautrée au milieu de la carcasse de voiture, en sang. Elle ne réagit pas quand je l'appelle ou quand je lui secoue le bras, elle semble morte. J'appelle le 15 (j'avais conscience qu'il fallait arrêter d'appeler tout le temps le 18 dans ce genre de situation dans mon rêve, il faut le faire), et la femme à l'autre bout du fil me demande le nom de la rue. Je fais quelques mètres pour aller voir la plaque avec le nom de rue, mais elle est illisible.

Je fonce alors dans un petit commerce qui se trouve dans le coin mais pas de commerçant en vue à l'intérieur, et je suis obligé de me perdre dans les rayons du magasin (qui devient soudainement gigantesque) pendant que j'ai toujours le samu en ligne sur mon portable. Je trouve finalement une dame, et elle me dit que c'est la rue des 1000 je-sais-plus-quoi. Ce que je répète avec hâte à la fille du samu, mais elle me répond qu'elle connait pas, qu'il lui faut le vrai nom officiel de la rue.

S'ensuit une semie-engueulade avec la commerçante qui semble habiter là depuis très longtemps mais qui connait pas le vrai nom de la rue (mais une espèce de surnom non-officiel à la place). Je décide de revenir sur les lieux de l'accident, en essayant de retrouver mon chemin dans les rayons, et je finis par trouver une sortie. Quand je rejoins la rue, la fillette et la carcasse ont disparu, plus rien. Et je me rends compte qu'en fait c'était pas la même rue et que j'étais sûrement sorti par l'arrière du magasin (lulz).

Je monte chez mes parents qui comme par hasard habitaient pas loin de là, et je demande énergiquement à mon vieux le nom de cette foutue rue (vu qu'il connait bien toutes les rues de la ville toussa). Et là il se met à sortir sa carte de la ville à 2 à l'heure et à prendre son temps. Et en plus il comprend pas de quelle rue je veux parler. La gamine elle aurait eu le temps de se taper un tarot avec les chiens de la ruelle, à ce tarif-là.
J'essaie de retrouver la rue moi-même sur la carte, et pendant ce temps mon père est en train de se trancher un saucisson de chorizo tranquilos. Le pire c'est qu'à un moment pendant que je cherchais mon nom de rue, j'ai pris une tranche et je l'ai bouffée, donc après quand j'ai essayé d'interroger mon père précipitamment, j'avais la bouche pleine et il arrivait pas à comprendre ce que je disais... enfin bref, y'en a marre des cauchemars nuls comme ça. xD

*

J'ai rêvé que j'étais en formation pour devenir pompier. Il y a beaucoup de sport, je me démène pour faire des exploits pendant les matchs (d'un sport collectif indéfini, en gymnase) histoire d'être bien noté. Et j'attends le test final qui va m'attribuer ma note décisive individuelle, une sorte de penalty entre moi et 3 autres joueurs adverses qui défendent (et leur note à eux dépendra de leur défense).

Une fois que c'est mon tour, je passe devant le bureau des jurés et ils m'expliquent que le matériel (trampoline de gym en bois ou que sais-je) vient juste de casser avec le précédent candidat (je suis un des derniers à passer). Ils décident alors de simuler le match avec des cartes à jouer, il faut tirer une carte et on la place sur la table, selon une disposition mimant celles des joueurs dans le penalty.
Je tire un 3, je la place, et les autres candidats en face tirent deux 9 et un 4. Alors je perds parce que mon chiffre est trop faible face aux autres. Je fais un scandale, je leur explique que c'est n'importe quoi mais ils s'en foutent. Pour me venger je prends leur cafetière et je me barre avec, mais ils s'en foutent tellement de moi qu'ils ont même pas vu.
(aparté : le principal juré est mon prof de sport du collège qui était une vraie tête de con que je m'étais farci pendant quasiment les 4 années de collège)

Je me dirige dans les couloirs, désabusé, en buvant régulièrement une gorgée de la cafetière avec un geste véhément comme si chaque gorgée représentait mon seul semblant de vengeance. Plus loin, je vois au loin un prof, alors je confie la cafetière à mon amie en lui disant de la planquer. Malheureusement elle décide d'aller ensuite vider le contenu dans une sorte de petit réservoir contenant une substance chimique qui, si mélangée au café, provoque une explosion. J'ai pas le temps de l'arrêter et l'explosion se produit.


Je suis ensuite détesté de tous, ils me considèrent comme un mauvais élément qui a niqué l'école et gâché leurs ambitions, alors que juste avant ça j'étais sur le point de devenir le meilleur. Je vois les autres ayant réussi leur test qui deviennent célèbres, qui passent à la télé, il y en a même un qui est filmé en train de jouer à poil à la guitare avec la bite à l'air. Puis en fait sa bite tombe car c'était une fausse en plastique, mais ça empêche pas que ça montre sa vraie en dessous enfin bref, le rêve devient n'importe quoi.
Soudain il y a une alerte, il y a un géant moitié robot moitié béton (un peu comme un ancien immeuble qui s'est transformé en robot géant) qui s'est réveillé et qui sème la panique dans la ville. Je cours prendre mon équipement et mon échelle. Mais tout seul sans coéquipier, l'échelle c'est super risqué car elle est très longue pour atteindre de grandes hauteurs, et je n'ai personne pour me la tenir. (l'échelle, pas ma bite, suivez un peu =>[])
Pendant que je me précipite, je vois les autres équipes ayant eu leur diplôme qui galèrent et qui n'arrivent à rien, même en équipe et avec plein de matos.
Je place donc mon échelle au pied du géant et je monte à des hauteurs vertigineuses, avec l'échelle qui est très peu stable à cause du manque de coéquipiers et du géant qui bouge. Arrivé assez haut, je vois dans les rues en contrebas un défilement. C'est Adolf Hitler (si si) qui ameute les foules en promettant que lui et ses équipes vont résoudre le problème et sauver la ville, et ainsi convaincre la populace de voter pour lui prochainement (lien avec les élections d'aujourd'hui ? Très possible).

C'est donc une course à l'escalade entre moi et la clique d'hitler pour escalader le géant. Le géant n'est pas "plein", il est constitué de plein de plateformes carrées le long de son tronc, qu'il faut gravir en spirale en sautant de l'une à l'autre. Je prends de l'avance, je suis seul dans les alentours des poumons du géant à passer de plateforme en plateforme, j'y suis presque. Est-ce que je me dis que si je réussis, c'est moi qui vais gagner les élections à la place d'Hitler ? Je sais plus, c'est assez flou, ce qui est sûr c'est que ça pourra redorer mon honneur et laver mon blason ou un truc comme ça.

À l'extrémité d'une des dernières plateformes, il y a une sorte d'appendice qui permet de s'approcher de la plateforme suivante le plus possible, et cette dernière est plus éloignée qu'à l'accoutumée. Je grimpe sur l'appendice qui est une sorte de structure métallique glissante en forme de canine. Je vois le vide en-dessous et le machin glisse comme du savon.
Tout à coup, je sens que l'appendice bouge. Il est fixé sur un rail, qui fait coulisser la structure, pas vers l'avant pour m'aider, mais vers l'arrière. En fait, il y a une des profs au sol qui contrôle les rails à distance avec une manette téléguidée, et elle me dit que c'est pour le test de sport mentionné au début, histoire de me permettre de revoir ma note.
Je soupçonne qu'elle soit soudoyée par la clique d'Hitler, pour que je me viande dans le vide et que leur bande gagne le gros-lot-gros-lot. Je peste, puis je me concentre sur ce saut décisif. Puis je me réveille. 👾

*

Partie d'un rêve de l'instant peu avant mon réveil (promis j'invente rien) : je vais chez Roi of the Suisse mais il est pas là. Il doit être occupé alors pour l'aider à éviter l'accumulation de retard, je vais accomplir sa tâche prévue du jour, parmi celles marquées pour chaque jour du mois sur son grand calendrier mural.

Mais pas moyen de me souvenir quel jour on est ! Alors je pointe mon index, je ferme les yeux et je tournoie le bras jusqu'à ce que mon index sélectionne une des cases du calendrier au pif. Sur la case ainsi désignée, c'est marqué "vérifier l'expérience du poussitron dans le frigo".

Je vais alors vers le frigo pour l'ouvrir, et là dedans je vois un poussin ligoté en boule dans du petit filet avec un capuchon vert collé sur le bec, à l'instar des machins de jus de citron de supermarché que mes parents achetaient à un moment (voir image plus haut).

Je comprends que l'expérience consistait à laisser le poussin au frigo affublé ainsi pour voir si au bout d'un moment il se transformait pas en vraie poire à citron de supermarché, ce qui donnerait du jus de citron infini pour tous !

Mais je vois que le pauvre poussin est encore conscient et frigorifié, ligoté en boule comme ça dans le frigo. Alors je le sors, et pendant que je m'affaire à d'autres aventures dans mon rêve, je garde le poussin dans le creux de ma main, et je bouge le bras un peu partout en l'approchant des zones chaudes de mon environnement direct (radiateurs, tableau de bord de voiture) dans le gré de mes mouvements pour l'aider à recouvrer peu à peu son état normal.
Il me serait évidemment pas venu à l''esprit de le déligoter ou d'enlever le capuchon vert accroché à son bec.

À force de le bringuebaler dans ma main lors de discussions houleuses avec des gens, j'appuie dessus sans faire exprès. Et sous la surprise générale, le poussin propulse un jet de jus de citron.

Voilà, je sais pas encore ce que ça veut dire au niveau du surmoi et de la raison de l'univers, mais c'est à méditer.
 

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